Joshua Marbury et sa femme Alicia Quinney se sont programmés une sortie au restaurant et ont fait appel à une nourrice pour garder leur fils d’à peine un an durant la soirée.
La jeune femme a l’air très douce et ils partent l’esprit serein pour profiter d’une belle soirée en amoureux.
Mais lorsqu’ils reviennent, c’est le choc..
La première chose que la mère a remarqué lors que le couple était de retour à la maison, c’est la marque de leur petit bonhomme avait près de l’oeil. La mère se demandait donc ce qui s’était passé.
En s’approchant davantage de l’enfant, elle remarque que tout le côté du visage du petit Jacob était noir et bleu. À côté de lui, la gardienne dormait sur le sofa pendant que l’enfant souffrait à côté d’elle.
Les parents choqués se rendent au poste de police pour porter plainte et à l’hôpital pour faire constater les coups. Mais la police de l’Oregon où ils résident va leur dire quelque chose de terrible : l’enfant ne pouvant pas affirmer que la nourrice l’a frappé du fait de son âge et en dépit de preuves tangibles, aucune poursuite ne peut être engagée à l’encontre de cette femme.
Malgré les traces de coups ? OUI ! La jeune femme nie évidemment les faits et ne peut être poursuivie pour ses agissements. De fait, elle peut recommencer avec d’autres enfants.
Alicia et Joshua ont donc décidé de poster les photos sur Facebook avec un long message où ils expliquent la situation.
« Quelque chose doit être fait…
« Quelque chose doit être fait. Personne ne peut frapper un enfant et s’en sortir seulement parce que celui-ci ne peut pas vous dire verbalement ce qui s’est passé », écrit Alicia. Le message a été partagé plus de 370 mille fois. Les parents espèrent ainsi que la justice ouvre une enquête.
Le couple a également mis en ligne une pétition pour changer la loi dans l’Oregon… » Faites votre part, vous avez une confession verbale et des preuves montrant une empreinte de main !!!! Un corps mort ne peut pas vous dire qui l’ a tué!! Alors pourquoi c’est différent pour un bébé?! », a-t-il écrit.
Aujourd’hui leur fils va mieux physiquement mais il gardera sans doute des séquelles psychologiques de cette soirée. Ils n’osent plus le confier à une baby-sitter. Quant à la gardienne, elle aurait fui en Californie