Entre les déceptions amoureuses, les périodes de célibat, les mauvaises expériences s3xu3ll3s, les contraintes professionnelles et familiales et les troubles de la santé, nous avons une liste sans fin de raisons qui expliquent pourquoi nous faisons face à une abstinence s3xu3ll3. Mais, saviez-vous qu’un manque de rapports s3xu3ls était néfaste pour votre santé physique et psychique ? Explications !
De manière générale, avoir une vie s3xu3ll3 épanouie permet d’être en osmose avec son corps et son esprit. Ainsi, les périodes d’abstinence s3xu3ll3 peuvent être frustrantes, à tous points de vue. D’ailleurs, voici 9 choses qui arrivent au corps lorsque vous n’avez pas de rapports s3xu3ls :
Une baisse de la l1b1do
Durant l’acte s3xu3l, l’organisme produit diverses hormones du bien-être et de l’attachement, dont l’endorphine. Ces hormones offrent une sensation agréable et permettent d’associer le s3x3 à un sentiment positif, donc d’entretenir le désir s3xu3l. Mais, durant une abstinence, ces hormones ne circulent plus dans le corps et la libido chute progressivement car moins on en fait, moins on a envie d’en faire !
Un niveau intellectuel limité
À l’époque, il était de coutume de croire que les relations s3xu3ll3s, et notamment l’3jaculation, impactait négativement l’intelligence. Or, c’est tout le contraire ! Selon des chercheurs de la Princeton University (New Jersey, États-Unis), le s3x3 et l’intelligence sont liés car une activité s3xu3ll3 régulière serait à l’origine de l’augmentation des connections entre les neurones. Ainsi, un manque de rapports s3xu3ls limiterait le développement du niveau intellectuel.
Une augmentation de la tension artérielle
En parallèle d’être un moment de plaisir intense, l’activité s3xu3ll3 est une activité sportive qui permet d’entretenir la santé cardiovasculaire. Ainsi, une personne étant dans une période d’abstinence diminue le bon fonctionnement de son système cardiovasculaire, ce qui peut l’amener à souffrir d’hypertension artérielle.
Du stress et de l’anxiété
Vu que le corps libère différentes hormones qui régulent l’humeur durant les rapports s3xu3ls, ces derniers favorisent la réduction du stress et de l’anxiété. Cependant, cela veut aussi dire que les périodes d’abstinence sexuelle sont synonymes de plus de stress et d’anxiété.
Une estime personnelle en chute libre
Au vu de la production d’hormones et des liens positifs qui se créent entre les partenaires, les rapports sexuels favorisent un sentiment de confiance en soi. Cependant, à l’inverse, quand nous traversons une période d’abstinence s3xu3ll3, notre estime personnelle est en chute libre.
Un système immunitaire affaibli
Selon une étude menée par les psychologues Carl Charnetski et Francis Brennan Jr., les 0rgasmes seraient particulièrement bénéfiques pour le système immunitaire, au même titre que les rapports s3xu3ls. En effet, grâce au prélèvement de la salive des femmes après les rapports s3xu3ls, ils ont constaté que les femmes ayant une vie sexuelle épanouissante ont une concentration plus élevée d’immunoglobuline A, l’anticorps qui constitue la première ligne de défense immunitaire contre les toxines et les agents pathogènes.
Des troubles de la lubrification
Une abstinence s3xu3ll3 prolongée peut être à l’origine d’une sécheresse v4gin4le. En effet, c’est l’un des facteurs de risque et cela est lié à une baisse de production du liquide transparent lubrifiant du v4gin, à cause d’une perturbation des sécrétions hormonales et du désir s3xu3l.
Des dysfonctions érectiles
Les dysfonctions érectiles s’illustrent par une origine physiologique et/ou psychologique. Dans le deuxième cas, on parle d’anxiété de performance, c’est-à-dire craindre de ne pas être capable d’avoir une 3rection ou de la maintenir assez longtemps pour satisfaire ses besoins et ceux de sa partenaire. Parfois, il s’agit d’une conséquence à une abstinence s3xu3ll3 prolongée.
Une réduction des risques de maladies s3xu3ll3m3nt transmissibles (MST)
Heureusement, il y a au moins un avantage à ne pas avoir de relations s3xu3ll3s, celui de ne pas attraper de MST ! En effet, étant donné que les rapports s3xu3ls non-protégés augmentent le risque de souffrir d’une maladie s3xu3ll3m3nt transmissible (MST), le fait de ne pas en avoir pendant un certain temps réduira logiquement ce risque.