À LA VIE, À LA MORT
Épilogue
Deux ans après...
Barbara Nala...
Comme il fait bon à vivre maintenant... Au moins, si j'ai échoué dans le choix de l'homme qu'il me fallait, j'ai au moins réussir quant à mes enfants et je me retrouve maintenant mamie de cinq adorable petits enfants en comptant Kim et le nouveau bébé de Marie. Sauf que c'est de vrai petits diables qui n'épargnent rien sur leurs passages. Kim est rentrée chez son père pour l'école mais ça n'arrange rien puisque ses frères sont doublement fort qu'elle. Leurs parents doivent travailler alors je trouve un réel plaisir à les garder. En bref, je suis comblée et je passe la plus heureuse des vieillesses. J'avais arrêter d'y croire à plusieurs reprises mais Dieu est vivant et est amour. Il a toujours de bons plans pour nous. Pourvu qu'on reste patient et qu'on fasse sa volonté. Qu'on reconnaisse nos tords et qu'on lui confie nos rêves comme un enfant à son père...
Alan: (entrant)Mamie... Nayour...
Moi: Quoi chéri ? Tu veux dire mamie d'amour ? Oh la la t'es trop mignon aussi...
Mais au lieu d'être content, ses yeux se mouillent plutôt.
Moi: quoi trésor ?
Lui: Nayour...
Moi: (comprenant)yaourt ?? Tu veux du yaourt ?
Il répond timidement oui de la tête et j'en rigole un moment. Comme ils sont mignons quand ils créent leur dictionnaire à eux... Je me souviens que son père disait la même chose...
Je me lève à peine que Brad entre à son tour...
Je me lève à peine que Brad entre à son tour...
Lui: Mamie...Ary à fait pipi dans le salon.
Moi: Et toi tu étais où ? C'est ton petit frère et tu es assez grand pour l'amener au toilette.
Lui: Mais...
Moi: (partant) pas de 'mais ''. Tu vas nettoyer tout ça ou je raconte tout à ta mère et oncle Arthur.
Il me boude un moment puis s'en va.
J'amène Alan à la cuisine et je prend le yaourt pour eux tous. Au même moment, on claxonne dehors. Ah leur parents sont là.
................Sarah........................
[...]
Moi: Chéri Mike m'a passer un appel vidéo ce matin. Il va se marier.
[...]
Moi: Chéri Mike m'a passer un appel vidéo ce matin. Il va se marier.
Lui: hum quelle agréable nouvelle.
Moi: on devrait y aller. Il a tellement fait pour moi par le passé que je ne vois manqué ça pour rien au monde.
Lui: Bien sûr que oui mon coeur.
Moi: mais dit... on ne devrait pas descendre chercher les enfants ?
Lui: Quoi ? Tu as oublié ? On est censé prendre le week-end. Hôtel, sortie avec Marie et Kevin... tu te souviens ? Sarah... tu oublies toujours quand il s'agit de prendre le week-end. J'ai besoin de ma femme aussi...
Moi: Oh Mincee... J'avais complètement oublié.
Il affiche une mine dessus et je lui donne un baiser auquel il répond. Comme le temps passe vite !! Et tout le monde est heureux. Arthur gère l'entreprise avec moi et tout est beau maintenant. Je n'arrive pas à me rendre à l'évidence que j'ai déjà passé deux ans avec lui. J'ai toujours l'impression qu'on vient de se rencontrer sauf que chaque jour, nous nous aimons encore plus... J'en suis tellement heureuse...
Je sens quelqu'un tapé la vitre et je reprends mes esprits. C'est ma belle mère...
Arthur descend la vitre.
Je sens quelqu'un tapé la vitre et je reprends mes esprits. C'est ma belle mère...
Arthur descend la vitre.
Maman: Alors les jeunes, pourquoi vous ne descendez pas ?
Arthur: nous sommes juste passer te remettre un paquet pour les enfants et repartir. On repassera les chercher lundi.
Elle: Vous ne voulez pas leur faire un câlin au moins ? Sarah chérie, Ary n'arrête pas de demander d'après toi.
Moi: maman...ce sera pire s'il nous voit. on ne pourra plus partir. Dite leur qu'on viendra, qu'on est passé voir le père Noël pour eux.
Elle: (riant)Excusez moi d'être indiscrète mais c'est toujours l'entreprise ?
Arthur: à peu près... Bon un gros bisous aux enfants... on doit partir maintenant.
Elle lui prend le paquet amusée et Arthur démarre. On s'éloigne petit à petit et au bout de cinq minutes, la maison n'est même plus en vue. Mais je deviens inquiète tout d'un coup.
Moi: Bébé, tu penses qu'on a bien fait de n'être pas aller voir les enfants ? Je me sens bizarre.
Lui: Chérie... toi aussi, ça va faire un ans qu'on vit le train train quotidien. Tu ne pense pas qu'on a droit de détente ?
Moi: oui tu as raison...
Il ne répond pas tout de suite.
Lui: tu te souviens de tout ce qu'on a vécu quand tu étais toujours enceinte ?
Moi: Comment pourrais je oublié ça ?
Lui: (me prenant la main) Quand j'ai repris mes esprits, j'ai pensé que je t'avais perdu pour de vrai. Je n'arrivais plus à m'imaginer qu'on serait ici... en ce moment... et toi en tant que ma femme et moi en tant que ton mari...
Je sourris un moment avant de le regarder droit dans les yeux. Il adore ça...
Moi: Au fait, nous deux... c'est... c'est à la vie, à la mort mon amour.
Lui: Je t'aime.
Moi: hum...prouve le...
Lui: (me regardant) donne moi trente minutes pour atterrir à l'hôtel et je te prouverai à quel point...
Je rigole de ça...
Lui: ça t'amuse hein ?
Moi: Je suis un peu du genre ''je ne vois pas, je ne crois pas ''.
Lui: (clin d'oeil)OK je te concède ça, on verra bien.
Moi: En fait, je t'aime aussi...
Il me fait la bise et le reste du trajet se déroule en silence...
FIN FIN ¤¤¤